Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus Chapitre 8 : Elodie Ou Les Vestiaires Des Footeux...
Une autre histoire dans les vestiaires de la piscine
Sauf que ces vestiaires sont réquisitionnés par le club de foot du village
Elodie va détonnements en étonnements
Et apprécie la situation
« Merdre ! Travailler le dimanche
Et pour ces footeux tout crottés en plus ». Cavait été la réaction dElodie quand elle avait compris que ces week-ends étaient foutus
Elodie travaille comme responsable des vestiaires à la piscine de sa toute petite ville. Une piscine fréquentée par de nombreux nageurs des villages alentours.
Cest quand il avait fallu trouver une solution pour le club de foot voisin, dont les vestiaires nécessitaient de grosses transformations, que ceux de la piscine avaient été proposés par ladministration. La piscine comprenait en effet les vestiaires classiques (hommes dun côté et femmes de lautre) mais il y avait également deux vestiaires collectifs totalement distincts pour les clubs sportifs. Ce sont ces deux vestiaires qui avaient été réquisitionnés pour le foot, à charge pour Elodie de les maintenir en état.
De plus, les matches se terminaient après la fermeture habituelle de la piscine, elle se retrouvait donc, « pigeonne », à devoir assumer une tâche peu agréable (les joueurs allaient rendre ces vestiaires dégueulasses) dans des horaires contraignants.
Pour lui rendre la vie de ses dimanches un tout petit peu plus sympathique, on lui avait installé un petit local entre les vestiaires et les douches, avec une chaise, une table, un frigo et une machine à café, ainsi quune armoire et tout son nécessaire de nettoyage.
Le premier dimanche était arrivé. Lambiance était calme, les deux équipes sétaient préparées et avait quitté le bâtiment dans un bruit inhabituel à la piscine, les studs des godasses claquant dans des couloirs plus habitués aux pieds nus.
Elodie entendait au loin les clameurs des supporters, quelques coups de sifflets de larbitre, et même quelques jurons de certains joueurs, tout en lisant un magazine quelle avait trouvé près des casiers de ses collègues.
Cest à la mi-temps que tout à commencé. Elle a entendu la porte grincer, puis un joueur la tête basse réintégrer le vestiaire, laissant les premières traces de boue derrière lui. Il est resté prostré quelques minutes assis sur un banc, puis sest déshabillé. Il sest retrouvé complètement à poil et sest à nouveau assis sous les yeux éberlués dElodie. Son travail habituel dans les vestiaires « hommes » ne lui laissait pas ces possibilités. Les hommes se déshabillaient et enfilaient leur maillot dans des cabines, ce qui ne permettait pas lapparition du moindre bout de zizi. Et là, voilà quun mec se dessapait sans la moindre pudeur et sexposait ensuite sans la moindre retenue. Il attrapa une serviette dans son sac et passa devant Elodie pour se rendre aux douches en lui adressant un petit sourire triste
La douche dura de longues minutes. Puis, il reprit sa serviette et Elodie eut la surprise de le voir sapprocher delle puis dentamer la conversation, le zizi bien en évidence ! Il lui raconta combien il était déçu par son match, combien il était triste davoir été remplacé, combien le foot était important pour lui et combien il espérait se réaliser dans ce sport. Être remplacé alors que le foot était toute sa vie, le rendait complètement malheureux. Elodie vit le petit garçon triste à côté delle. Elle faillit prendre ce petit garçon triste dans ses bras, mais la vue de cette queue poilue dune quinzaine de centimètres au moins qui se balançait entre ses guibolles, la ramena à la réalité. Ce nétait pas un petit garçon, mais un homme bien couillu et qui exposait sa couillitude qui se trouvait en face delle. Pour la pauvre Elodie, la situation apparaissait un rien surréaliste
Le mec navait pas encore pris la peine de se rhabiller, quand elle entendit de nouvelles clameurs. Le match était terminé, et les deux équipes revenaient.
- Vous avez bien un tuyau darrosage, non ? Un premier passage avec le boyau et le plus gros devrait être parti
Lidée était bonne, et quand ils sont partis, Elodie a empoigné le flexible et arrosé tout le vestiaire, constatant avec satisfaction que leau emportait lessentiel sur son passage
un bon coup de raclette acheva le travail
ça navait finalement pas pris trop de temps
Quand elle avait raconté sa journée à son mari, celui-ci navait pas trop apprécié que ces mâles exhibent leurs quéquettes à sa femme. Dautant plus que lui était un peu chétif, et relativement mal achalandé dans le pantalon
Par contre, quand ses copines avaient écouté son histoire, ce sont plutôt des exclamations denvie quelle avait entendues. Et les copines de tenter de se faire une petite place pour elles aussi assister au spectacle
Ce qui ne posait évidemment pas de problèmes, puisque ces après-matches dans les vestiaires semblaient être résolument portes ouvertes. Et les nanas de prendre rendez-vous pour les prochains week-ends !
Elodie qui ne comprenait rien au foot avait cependant appris que les équipes jouaient une fois sur leur terrain et une autre fois sur le terrain dun adversaire. À lheure des matches de ce quelle allait dorénavant appeler son équipe, quand cette dernière nétait pas là, cétait les scolaires qui jouaient. Les scolaires étaient des jeunes de 16 et 17 ans.
Avec ces jeunes, lors du premier match, le rituel avait démarré de la même façon. Les deux équipes arrivaient, et ils se mettaient en tenue pour le match. Elle était ensuite tranquille pendant toute la durée du match, les jeunes nayant pas le droit de revenir dans les vestiaires à la mi-temps.
Elodie avait passé un dimanche bien différent du précédent, mais elle y avait finalement trouvé son compte également
Les jeunes bites rivalisaient finalement avec les bites plus adultes, mais les attitudes différentes selon les âges lui permettaient den apprendre beaucoup sur la gent masculine. Ce nest ni son frère, ni son père, ni son cousin, et pas non plus son homme qui lui auraient permis dimaginer de telles attitudes
Voire den rêver
Parce que ces corps nus quelle croisait au boulot, ça commençait à la faire fantasmer
La vie valait la peine dêtre vécue, et peut-être différemment de ce quelle avait imaginé jusquà présent
Même si ces hommes nus navaient rien manifesté de particulier qui soit particulièrement érotique, les situations dans lesquelles elle avait été mise, érotisaient pour elle-même lambiance du vestiaire.
Et les dimanches se suivirent, se ressemblant finalement assez
Seule léquipe adverse changeait dune fois à lautre. Elle avait dailleurs décidé deux choses : dune part daller voir dans cette équipe sil ny avait pas de physique particulièrement intéressant, surprenant voire rigolo, et dautre part de bien observer les physiques de ceux du coin. Certains parce quils étaient plus mignons que dautres, et pour les autres, parce que dans une petite ville comme la sienne, les gens se connaissaient davantage. Et puisque ces hommes se baladaient la biroute à lair sans vergogne et sans pudeur, elle regardait avec plaisir, espérant croiser ces mecs en dautres occasions, à la grande surface ou à la boulangerie du quartier par exemple. Ou pour pouvoir raconter aux copines.
Parce que les copines qui avaient manifesté avec beaucoup dentrain leur volonté dassister au spectacle, se retrouvaient moins fières de passer à lacte
- Mais moi, je connais untel ou untel
Quest-ce que je vais dire, quest-ce que je vais faire si je le croise tout nu
Je crois que je serai encore plus gênée que lui !
Elodie passaient donc ces dimanches seule dans son vestiaire
Seule avec ses hommes nus. Elle avait sympathisé avec le moins bon footballeur dentre eux, puisquil continuait à revenir à chaque mi-temps. À chaque fois, il se foutait complètement à poil, puis il venait cause avec lui
Au début, elle était assise, et lui restait debout
ce qui la troublait plus encore, puisquelle avait les yeux quasi au niveau de sa queue
queue, qui entre parenthèses, était parmi les plus longues et les plus épaisses des différentes équipes quelle avait pu épier ! Quand il arrivait, elle se levait maintenant, et ils restaient là, tous les deux, debout, à siroter un café quelle lui proposait, elle habillée, lui tout nu.
- Son petit garçon, comme elle disait à ses copines
- Oui, mais avec une grosse queue
quelles répondaient avec gourmandise
Son petit garçon quelle devait envoyer à la douche sinon il trainait et se refroidissait
Même quand il était sous la douche, il continuait à lui parler. Et comme elle ne comprenait pas, elle sétait approchée de la salle, puis sétait appuyée sur le chambranle de la porte pour continuer la conversation. Et elle avait admiré cet homme bien bâti qui faisait mousser le gel douche sur son corps, sur ses muscles, dans ses cheveux, sur ses fesses, sur son sexe
Puis, les autres débarquaient et cétait plein de biroutes qui voltigeaient dans tous les sens, et les autres femmes qui venaient admirer
Et puis tous partaient la laissant seule avec la boue, quelle faisait maintenant déguerpir à chaque fois avec la lance darrosage.
Une semaine les hommes, les vrais, une semaine les plus jeunes qui pour léquipe du coin sétaient habitués à sa présence. Habitués à sa présence, cela signifiait pour certains, ne plus tenir compte de sa présence, et pour dautres, majoritaires, en tenir compte davantage, et profiter de cette présence féminine pour apprécier lexpérience de lexhibition virile
Pour lautre équipe, cétait à chaque fois langoisse de se mettre nu avec le risque que la dame ne voit les zizis, et pour la dame, justement, le plaisir un rien pervers de se poster justement bien en évidence, pour les gêner un peu
Et lannée sétait écoulée jusquà la fin du printemps. Les terrains sasséchaient peu à peu, la boue était moindre, mais cela nécessitait malgré tout le tuyau à chaque fois. Et puis, alors quil ne restait que deux matches, elle avait senti une ambiance particulière
Sils gagnaient cette fois, ils pourraient être champions
Et donc, ce serait la fête
Et cest ce qui sétait passé. Son petit garçon nétait pas revenu cette fois. Elodie avait appris que, comme dhabitude, il navait joué que la première mi-temps, mais cette fois, il avait voulu rester avec son équipe, pour lencourager et participer à la fête
Et ils ont gagné
4-0. Elodie sen fout du foot, mais cest un score dont elle se souviendra toujours
Et les hommes sont revenus, et ils se sont foutus à poil, puis les supporters ont débarqués, plus nombreux que dhabitude. Plus de femmes aussi
Et parmi elles, ladjointe au maire, qui semblait beaucoup samuser de toutes ces nudités mâles qui lentouraient
Et comme ils avaient gagné, les bouteilles de champagne pétaient. Et comme ils avaient gagné et que quand on gagne on exagère toujours un peu, ils avaient sauté dans la piscine (heureusement après la douche !), bien que le contrat entre le club et la mairie, propriétaire de la piscine, ait été clair. Mais sans doute que ladjointe au maire allait couvrir cela
Et les hommes de jouer tout nu dans la piscine, et ladjointe au maire dapprécier davantage. Et de demander à léquipe de poser avec elle dans le plus simple appareil :
- Je sais quon a déjà fait des photos au terrain, mais jaimerais encore avoir quelques souvenirs
des vestiaires
minaudait-elle.
Et les mecs, de démontrer leur bonne volonté et de se rassembler autour delle. Et elle de ne plus se sentir, entourée de cette petite quinzaine de mecs à poil
Et de déjà imaginer les commentaires quelle fera à ces copines quand elle montrera ces photos
Et la photographe présente de mitrailler
- Jen voudrais quelques unes où vous cachez vos
pénis
hi, hi, hi ! Parce que je voudrais mettre une de ces photos dans mon bureau
mais ce sera déjà assez coquin
sans
ça !
Et la plupart de sexécuter, sauf lun ou lautre qui décide de jouer plus encore lexhibitionniste. Et la photographe de le remarquer. Et ladjointe au maire de redemander dautres photos plus sérieuses
- hi, hi, hi,
Puis les mecs se décident à se rhabiller
Elodie jouit de ces dernières nudités. La saison prochaine, les vestiaires du club seront réparés
Ladjointe profite des derniers tous nus pour faire quelques photos « de couples », elle habillée, lui à poil
Certains sy prêtent de bonne grâce, amusés par cette politicienne locale un rien hystérique, dautres la remballent, avec plus ou moins de politesse
Mais elle ne sen formalise pas
Les quelques femmes restantes ne sont pas en reste, et elles tentent aussi quelques clichés du plus bel effet
Le dernier tout nu, cest évidemment « son petit garçon
» qui propose à Elodie de poser à son tour avec lui
Elle est toute rouge sur les quelques photos quon lui a fait parvenir et quelle cache sous sa pile de petites culottes, dans un tiroir que son mari ne fréquente pas
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